Deuxième week-end de l’année dans les Alpes à l’occasion de la cyclo-sportive « La Madeleine » après celui passé à Barcelonnette dans les Alpes-de-Haute-Provence. Nous logeons au pied du col de la Madeleine, à Sainte-Marie-de-Cuines. En point d’orgue de cette journée, le col du Cheval Noir (Alt: 2832m). Vais-je en réussir l’ascension?
Ce 8 août 2014 marque mes retrouvailles avec le Géant de Provence. L’objectif sera cette fois-ci d’en faire l’ascension à pied à partir de Bédoin et plus précisément du camping le Ménèque, notre camp de base.
Presqu’un mois jour pour jour après ma randonnée au Grand Colombier, me voici repartie avec le frangin dans une nouvelle aventure. Nous délaissons l’Ain pour un département bien plus montagneux, les Alpes-de-Haute-Provence. Oui, c’est bien au centre de la vallée de l’Ubaye, dans les environs de Barcelonnette, que nous allons passer ce week-end de trois jours (du 27 au 29 juin) qui, je l’espère, sera riche en souvenirs.
Aujourd’hui, 29 mai 2014, c’est dans l’Ain que nous allons passer la journée mon frère et moi. Ici, l’ascension du Mont Veyrier (Annecy) laisse place à celle du Grand Colombier tandis que le Jourdan remplace la Jordanne (Aurillac). Le Grand Colombier est bien connu des amoureux de cyclisme mais il est aussi un site exceptionnel pour la pratique de la randonnée et du trail notamment. Le point de vue y est grandiose par temps clair.
Un peu moins d’un an s’est écoulé depuis notre randonnée pour le moins ventée autour des Dentelles de Montmirail dans les vignobles de Beaumes-de-Venise. Rendez-vous est cette fois-ci pris avec le vignoble de Bourgogne. C’est en effet dans le Mâconnais que nous allons passer notre dimanche.
Observer Chevrières sous le prisme de la HDR, c’est jeté un nouveau regard sur mon village d’enfance. Chaque lumière est plus intense, chaque couleur plus soutenu, chaque relief plus profond. Tantôt assez réaliste tantôt surréaliste, les variantes sont innombrables et les possibilités infinies si bien que le charme opère. Enfin, la plupart du temps…
« Parfois, un second arc-en-ciel moins lumineux peut être aperçu au-dessus de l’arc primaire. Il est provoqué par une double réflexion de la lumière du soleil à l’intérieur des gouttes de pluie et apparaît sous un angle de 50-53° dans la direction opposée au Soleil. En raison de la réflexion supplémentaire, les couleurs de ce second arc sont inversées par rapport à l’arc primaire, avec le bleu à l’extérieur et le rouge à l’intérieur, et l’arc est moins lumineux. C’est la raison pour laquelle il est plus difficile à observer. »
Lorsque l’hiver arrive, Chevrières se recouvre d’un manteau blanc. L’occasion de saisir l’instant paisible.
La neige est si belle sur les arbres, sur les toits lorsque s’empilent petit à petit tous les flocons qui tombent du ciel.
Maintenant, tout est plus calme, tout est plus blanc.
Comme une toile moelleuse
Comme une toile d’Hiver.
Chevrières, mon village de naissance. J’y ai toujours habité. Une commune dans laquelle quelques 1000 âmes y vive et peut être autant de vaches. Les plaisirs de la campagne. Il est ainsi normal de le présenter via de petites photos.
En cette journée du 3 novembre 2013, nous nous engageons, mon frère et moi, sur le circuit 26 km de la randonnée « Le Babet Appelou » organisée par l’A.L. Fayol – Gaffard, club de Firminy. Cette marche constitue pour moi la plus difficile en terme de distance.
Un petit poste pour présenter ma maison. La même prise de vue à deux saisons différentes
Voici l’un de mes premiers dessins réalisés en noir et blanc. A l’instar de « My first black and white drawing », je l’ai retouché légèrement grâce à l’outil informatique afin de rendre sa blancheur à la feuille jaunie par le temps. En outre, j’ai amélioré un brin les contrastes et le rendu du noir.
Je viens de retrouver dans mes affaires mon premier (véritable) dessin en noir et blanc d’un célèbre personnage de mon enfance. Qui? Ric Hochet. Ah nostalgie quand tu nous tiens. Quant à l’autre, je ne sais pas, donc je l’appelle « Shooter ».
Ce vendredi 9 août, mon frère se lance un nouveau défi de taille. J’ai nommé, « Les Cinglés du Ventoux ». Le dicton populaire prétend : « N’est pas fou qui monte au Ventoux, mais est bien fou qui y retourne ». Ce séjour partagé en famille avec mon père et donc le frérot, est l’occasion de découvrir les villes d’Orange et de Bédoin et de mettre un premier pas sur le Géant de Provence. Un repérage pour les prochaines fois…
Tout juste une semaine après Annecy, nous nous rendons mon frère et moi à Aurillac, dans le Cantal. Mais à la différence des fois précédentes, nous ne bénéficierons pas de tout le confort des hôtels. C’est bien au camping de l’Ombrade que nous allons camper. Deux jours pour partir à la découverte d’une ville se reflétant dans la « Jordanne ».